La ferme Lalaque dans la presse

Le porc de Franck Lalaque s’invite au "Bœuf sur la place"

La nouvelle République des Pyrénées - Publié le 08/03/2024

Chez Lalaque, le porc est une tradition depuis quatre générations. Avec une traçabilité sans faille pour le patrimoine gustatif.

La ferme Lalaque perpétue les traditions depuis quatre générations.

Tout d’abord céréalier et naisseur engraisseur de porcs, la famille décide de devenir autonome sur leur production d’aliments pour leur élevage.

Puis, sur l’impulsion de l’installation du fils Franck, et du savoir-faire de Patricia et Gérard, ses parents, la société, le GAEC Lalaque se lancent dans la vente directe de leurs produits.

Viande plus faite et plus goûteuse avec des porcs entre 150 et 200 kg, tous sont nourris avec les céréales de la ferme : orge, blé, maïs, soja non-OGM.

Une traçabilité sans faille, bien être de l’élevage et donc d’une qualité gustative, émanant d’une tradition et d’un savoir-faire permettant de réaliser des produits fermiers au bon goût d’antan.

Un savoir-faire à déguster

Franck multiplie les actions de communication et autres soirées dédiées à la gastronomie locale, avec la présentation et la dégustation de jambons, charcuteries, boudin noir aux pommes, la carbonade de porc fermier accompagné de vins de Madiran made in Plaimont.

"C’est principalement un savoir-faire que mes parents m’ont inculqué et c’est vraiment une tradition qui se transmet de génération en génération, pour que justement le patrimoine gustatif reste en place chez nous, que ce soit en Hautes-Pyrénées où dans le Gers. C’est pour cela que ce soir, nous sommes ici chez Christophe et Stéphanie, pour faire découvrir et déguster mes produits auprès de ses clients."

Christophe et Stéphanie Pueyo, les patrons du restaurant "Le bœuf sur la place" à Marciac depuis deux ans, et qui ne manque pas d’éloge pour son ami Franck. "C’est un ami du rugby, un ami tout court, qui est un partenaire et producteur que je mets régulièrement à la carte du restaurant. Ça nous semblait logique que Franck organise une soirée découverte des produits de son élevage ici au restaurant. Ce sont des mets qui se démarquent. On est en plein dans les circuits courts, pour faire travailler les agriculteurs locaux du terroir."

J-P. Jaussaud

La ferme Lalaque, à 8 km de Maubourguet, fait partie du réseau de ferme en ferme, vous ouvre ses portes, tous les vendredis de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 19 heures contact@fermelalaque.fr, 06 15 23 11 14.

 

Hautes-Pyrénées : La ferme Lalaque décline un concept inédit d'Afterporc ce vendredi soir à Sauveterre

La Nouvelle république des Pyréenées - Publié le 15/06/2023

Quia dit qu’il fallait choisir entre tradition et modernité ? À la ferme Lalaque à Sauveterre, les savoir-faire ancestraux en charcuterie sont plus que jamais aux goûts du jour. La preuve avec Franck, à la tête de la ferme familiale désormais et qui organise une grande soirée « Afterporc » ce vendredi soir. Un rendez-vous dont il a assuré la promotion sur les réseaux, avec une vidéo insolite, comme il en a l'habitude.

Un événement festif et gastronomique dans une ambiance garantie puisque ce sont les inénarrables Konkisadors qui animeront la soirée. Au menu à partir de 19 h 30 : tapas à base de produits de la ferme et des voisins (pomme de terre de Sylvain Andrieux, vin des Pyréniales…), cochon de lait à la broche… « C’est notre moment festif annuel, précise Franck Lalaque. Ça permet de présenter le travail dans une bonne ambiance. » Et pour y participer, mieux vaut réserver auprès de la ferme.

Andy Barréjot

Sinon, n’oubliez pas que la boutique de la ferme est ouverte tous les vendredis de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 19 heures.

Soirée dégustation au "SOM R"

La nouvelle République des Pyrénées - Publié le 05/11/2022

On prépare son palais, on se détend le coude, et on s’entraîne à déguster les vins de Christophe Urios, une belle opportunité pour partager un moment de convivialité qui a eu lieu récemment au "SOM R" à Maubourguet. Après quelques études d’œnologie, cet ancien joueur de rugby a acheté une propriété dans le village de son enfance, dans le Minervois entre Carcassonne et Narbonne où il œuvre avec ses frères, Mathieu et Pierre. "Un terroir d’exception, situé au bas du Piémont de la Montagne Noire à plus de 400 m d’altitude avec un sol calcaire et marneux sur lequel reposent des grès. Des conditions rêvées pour profiter d’un climat frais et développer la complexité aromatique de nos vins", souligne Christophe Urios et d’ajouter, "le Minervois est bien connu pour ses vins rouges, bien que ce soit aussi une terre de vins blancs, nous avons 5 blancs de disponibles, 13 cuvées, un échantillonnage intéressant avec des vins du sud très structurés, des vins assez portés sur le fruit".

Dégustation de vins et de charcuteries

Des charcuteries qui s’accordent avec tous les vins… Vins de prestige, vins gourmands, vins élégants, vins de terroir, un choix important qui a permis aux invités de se faire plaisir en se délectant de nouveaux nectars, mais aussi d’apprécier les incontournables produits de la Ferme Lalaque, située à Sauveterre, saucissons, jambon, chorizo, sans parler de l’irrésistible boudin noir, qui fait sensation auprès des connaisseurs.

"Des réjouissances qui ont fait du bien à l’ensemble des participants, c’est une belle initiative du club et cela permet de mettre en valeur les produits du terroir, nous avons tous les mêmes passions, ça permet également de faire de belles rencontres avec les "grands du rugby" ont ajouté certains gourmets !

Patricia Tiers

À la ferme Lalaque « Belle et Sébastien 4 » sur un plateau

La Nouvelle république des Pyréenées - Publié le 12/08/2021

La ferme Lalaque a fait un peu de place aux équipes du film qui ont tourné pendant quatre jours sur place. Un moment un peu suspendu sur l'exploitation où l'activité s'est malgré tout poursuivie.

À la ferme Lalaque, à Sauveterre, les plateaux sont toujours gourmands, avec dans le rôle principal, les cochons sur lesquels veille Franck Lalaque. Mais cette fois, c'est en spectateur privilégié que le producteur a vu son exploitation accueillir le tournage du film Belle et Sébastien 4. « J'étais inscrit sur une plateforme qui recense les sites pouvant servir de décor, explique Franck. Depuis le début de l'année, les équipes sont venues à plusieurs reprises pour repérer. » Et depuis lundi, entre 70 et 100 personnes peuplent l'exploitation, armées de tonnes de matériels véhiculés par camion. Pour l'occasion, la route qui mène à la ferme a même été fermée. « Au niveau de l'exploitation, ça implique de travailler différemment, d'autant plus que ces semaines d'été correspondent à une activité importante, poursuit l'éleveur. On travaille plus tôt et parfois tard, afin de leur laisser le champ libre. Pour nous, c'est un moment sympa à vivre et un coup de projecteur. »

Les premières équipes sont arrivées dès la semaine dernière pour installer les décors. Une dameuse est même descendue spécialement du Tourmalet, tandis qu'une neige artificielle recouvrait la ferme dans la brume matinale. « C'est le premier des Belle et Sébastien qui se passe de nos jours, explique Antonio Rodrigues, le directeur de production. On a écrit ce scénario en pensant à ce territoire-là, avec sa variété de paysages qui nous permet de passer de Paris à la montagne. On a cherché pendant cinq semaines le lieu qui serait la ferme des méchants. On voulait quelque chose de très structuré, de propre. Ici, avec ce jardin très bien entretenu, cette belle maison à côté, c'est idéal pour camper une agriculture moderne et productiviste, en opposition à la tradition véhiculée par ce petit-fils de Berger qu'est Sébastien. » Un petit garçon pour lequel Nino assure les doublures, notamment entre les pattes de Belle, sous l'oeil de son papa, venu en voisin de Mingot. « On a répondu au casting, explique-t-il. Et comme Nino ressemble à l'acteur, il est l'une des deux doublures et se prend au jeu. Même s'il faudra faire quelques aménagements au niveau scolaire, c'est une expérience rare. » La rentrée passée, les jeunes suivront en effet les cours à distance durant les premières semaines. Afin de pouvoir tourner, avec des vedettes comme Michèle Larroque. « On a voulu impliquer les gens du coin, avec des figurants locaux, des techniciens toulousains, mais aussi des seconds rôles confiés à des comédiens d'Occitanie » poursuit Antonio Rodrigues. C'est le cas de la sémillante Inès Pech qui a tourné sa seule scène ce mardi matin. « C'est vraiment trop bien, je vis ça avec bonheur surtout quand on a aimé comme moi Belle et Sébastien en noir et blanc, savoure la jeune Toulousaine. Je suis heureuse de tourner avec ce patou. C'est dépaysant, d'autant que ce matin on a tourné sous la neige, en plein été ! »

Au total, acteurs, techniciens mais aussi patou, brebis et leurs dresseurs, auront passé quatre jours à Sauveterre, profitant de la gastronomie locale, en lien avec les producteurs locaux et la chambre d'agriculture. « Que Belle, patou des Pyrénées, reviennent sur ces terres, c'est un peu un retour aux sources » conclut Antonio Rodrigues.

Un tournage quasi 100 % Bigourdan

Le tournage du film se poursuit dans les Pyrénées et plus précisément dans les Hautes, à l'exception d'un crochet par le Béarn. Après Tarbes et Sauveterre, l'équipe, qui a établi son camp de base à Lourdes pour mieux rayonner, sera en cette fin de semaine à Aureilhan, puis à Hautacam, Lourdes, puis Luz. Le tournage est prévu jusqu'au 13 octobre, avec une parenthèse de dix jours entre le 1er et le 10 septembre, afin de permettre aux enfants de faire la rentrée. Le film doit sortir en fin d'année.

Auteur : Andy Barréjot (NRP)

De ferme en ferme en Val d'Adour

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La dépêche du midi - Publié le 24/04/2020

Partez à la rencontre des producteurs locaux le vendredi matin à la ferme Lalaque. Quelques producteurs locaux ont répondu à l’appel de Franck, aidé par le réseau Bienvenue à la ferme,…

De ferme en ferme en Val d'Adour

La dépêche du midi - Publié le 12/04/2017

Deux jours à passer dans les fermes, les 29 et 30 avril, de 10 heures à 19 heures, au cœur du terroir avec l'opération «De Ferme en ferme» coordonnée par les Civam. Au fil de la balade, vous partirez à la découverte de fermes de tradition, d'élevage, des producteurs autour de plantes, de gourmandises sucrées ou salées, fromages, produits fermiers, vins… Les participants communiquent sur leur métier, leur savoir-faire et ces deux jours sont des moments de rencontres, d'échanges sur des métiers parfois difficiles mais passionnants.

Les participants : Stéphane Vitse, Morgane Frey, Castelnau-Rivière-Basse, tél. 05.62.31.96.67 ; spiruline, Fabienne Vrech, à Gayan, tél. 06.35.95.16.85 ; Bernard Lacrouts, plantes vivaces aromatiques, à Sanous, tél. 05.62.31.62.12 ; Les Légumes du moulin, J. Tenet et J.-P. Fazillaut, à Monfaucon, tél. 06.30.18.07.56 ; Jean-Luc Laffonta, légumes, chips, à Larreule, tél. 06.87.77.11.00 ; ferme Lalaque, à Sauveterre, tél. 06.15.23.11.14 ; Les Jardins du canal, légumes, plants bio, à Labatut, tél. 06.49.25.21.89 ; domaine Pichard, à Soublecause, tél.05.62.96.35.73 ; Ferme équestre du Val d'Adour à Rabastens, tél. 06.07.29.66.07 ; ferme Josette et David Marque, à Escondeaux, tél. 05.62.96.68.77 ; ferme Routis à Lannecaube, tél. 06.74.06.50.11 ; Lou Téoulé, Lionel Laborde, à Siarrouy, tél. 06.25.76.12.31.

Les Jeunes Agriculteurs seront au Salon de Tarbes

La dépêche du midi - Publié le 07/03/2017

Ils seront présents au Salon agricole de Tarbes du 9 au 12 mars et notamment au restaurant pour valoriser les produits terroir et locaux. Vêtus d'un tee-shirt rose, ils offriront deux sortes de restauration : une restauration traditionnelle avec charcuterie de porc, foie mi-cuit, veaux, agneaux, haricots tarbais, gâteau à la broche, glace artisanale et autres fromages ; le JA'Drive, un menu à emporter. En plus du burger «classique», le «burger de nos montagnes» est nouveau, à base de viande hachée d'agneau des Hautes-Pyrénées.

Du local pur

Franck Lalaque, jeune agriculteur, producteur de porcs fermiers à Sauveterre, sera un des leurs et un des fournisseurs en charcuterie locale.

Les porcs sont élevés en liberté avec les céréales produites sur la ferme. Ils sont transformés également à la ferme, laboratoire et équipement conformes pour toute la transformation et la salaison.

«Je suis très heureux de participer, le Salon est une vitrine pour nos produits. Les échanges sont importants et le restaurant ne sert que des produits fermiers. Les Jeunes Agriculteurs font le service et tout le monde s'investit. C'est vraiment du producteur à l'assiette». C'est certes privilégier le local mais aussi créer de la richesse et des emplois locaux», dit-il.Un Salon qui permet aux Jeunes Agriculteurs de mettre en avant l'importance de l'agriculture, des produits issus de leurs fermes mais aussi de leur savoir-faire. Quant à la convivialité, elle est aussi au rendez-vous.

Les Jeunes Agriculteurs savent réagir et face à une filière avicole durement touchée, ils se montrent réactifs et s'adaptent. Ils ne proposeront que de bons produits et le foie gras sera aussi dans les assiettes. Ils ont pour devise : «Valoriser les produits, assurer une traçabilité aux consommateurs à un prix raisonnable». Il ne vous reste plus qu'à aller à leur rencontre et vous régaler.

Janine Noguez

La ferme Lalaque, terre gourmande

La dépêche du midi - Publié le 30/07/2016 à 03:47

Une soirée réussie à la ferme Lalaque avec les producteurs du Civam qui ont régalé près de 400 convives. Les assiettes de tapas, grillades ou menu complet proposaient les produits frais et nature des producteurs présents sur le marché établi dans un coin de la ferme. Le jardin d'été avec tables de pique-nique, grange et chapiteau étaient tous pris d'assaut par les gourmands.

Les producteurs sont soucieux de montrer les efforts qu'ils font pour répondre aux marchés, aux besoins des clients, des consommateurs avec un retour vers le «vrai».

Si la société est de plus en plus attentive à la qualité des produits, aux modes de productions, à la provenance des denrées alimentaires, l'acte d'achat « reste encore un peu timide. Pour nous, les produits fermiers charcutiers et autres se portent bien», dira la famille. Le consommateur aime aussi acheter les produits directement à la source de la production. «Idée de fraîcheur, de bio et d'authenticité, ils attirent davantage», confie Charlie Montardon, président local du Civam. Des produits que l'on peut trouver aussi sur les marchés. L'opération «Séduction» a su promouvoir les produits et faire découvrir les atouts de notre campagne. L'ambiance musicale était assurée par Oxy Tania et un numéro solo de Philippe a fait chanter les tables.

Une soirée qui a consolidé les liens entre producteurs et consommateurs qui ont retrouvé le goût frais et authentique.

Les producteurs : Le Clos Fardet, Stéphane Vitse, Morgane Frey, ferme Trencalli, Fabienne Vrech La spiruline , Lou Téoulé, crèmes glacées, Les Légumes du moulin, Jean-Luc Laffonta, légumes, chips, Les Jardins du canal, légumes, plants bios, Aou Bernès la ferme aux oies, Ferme Lalaque, avec la participation du domaine de la Rose et vins de Gascogne.

Janine Noguez

Sillonnez le Val d'Adour de ferme en ferme

La dépêche du midi - Publié le 14/04/2016 à 03:47

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Après une année de pause, le réseau Civam Val d'Adour-Madiran organise, les 23 et 24 avril, ce circuit à travers 22 exploitations sur 3 départements limitrophes, mais avec une philosophie agricole partagée à découvrir.

C'est une invitation à reprendre le chemin de la ferme. Après une année de pause, le réseau Civam Val d'Adour-Madiran organise pour la 15e fois, le week-end des 23 et 24 avril, son circuit à travers les exploitations de ce territoire et au-delà. En effet, les 22 fermes qui accueilleront le public se partagent 3 départements et 2 régions sur une superficie pourtant restreinte. «Chacun présente sa production, ses modes de culture, son histoire, la transformation de ses produits, au cours d'une découverte minutée, afin de permettre aux visiteurs de se rendre sur plusieurs fermes dans la journée, détaille Perrine Maynadier, animatrice du réseau. Tous les producteurs partagent une philosophie autour de la vente directe, de l'agriculture durable ou biologique. C'est une opération qui parle au public. On l'a vu l'an dernier, où beaucoup de gens nous ont sollicités alors que nous marquions une pause.»

Suivant les exploitations, entre 80 et 500 personnes prennent part, sur le week-end, à ces visites guidées par les producteurs. «Chaque fermier est impliqué dans la communication, le tractage, poursuit Perrine. Ils se sont même filmés pour améliorer l'accueil des visiteurs. Au-delà des «Portes ouvertes», il y a toute une démarche, une dynamique sur ce territoire.» «C'est aussi l'occasion d'aller voir ce que fait le voisin», sourit Pascal Savoret, viticulteur à Madiran. Car l'offre est large et variée, entre les cochons, les glaces, la spiruline, les pigeonneaux, les fromages et même des escargots ! Avec deux nouveaux venus : les légumes bio des Jardins du canal à Labatut-Rivière et les plantes vivaces de Bernard Lacrouts à Sanous. «Je cultive ces plantes depuis près de vingt ans, explique ce dernier. Accueillir le grand public, les curieux, plutôt que la clientèle spécialisée habituelle, ça m'évitera de tourner en rond, y compris dans mes explications, en vulgarisant davantage. L'intérêt, c'est aussi d'intégrer une approche collective.»

Pour rompre encore plus l'isolement, des repas seront servis sur plusieurs des exploitations. Un concours photo permettra également de remporter des paniers gourmands.

Les fermes participantes, ouvertes de 10 heures à 19 heures, les 23 et 24 avril : Spiruline des Hautes-Pyrénées à Gayan, Glaces Lou Téoulé à Soarrouy, Bernard Lacrouts à Sanous, Les légumes du Moulin à Montfaucon, Jean-Luc Laffonta à Larreule, la ferme Lalaque à Sauveterre, Les Jardins du canal à Labatut-Rivière, le domaine Pichard à Soublecause, le Clos Fardet à Madiran, la Ferme nature à Castelnau-Rivière-Basse, la Ferme des quatre grâces à Beaumarchés (32), les pigeonneaux de la ferme « Au grit » à Projan (32), la ferme Routis à Lannecaube (64), Coqli'Pot à Argelos (64), la Ferme Betbeder à Saint-Armou (64), la ferme d'Arracq à Marpaps (40), la ferme Barrère à Monein (64), la maison Priou à Arbus (64), le clos Lapeyre à Jurançon (64), le clos Labrée à Jurançon (64), le jardin de Pyrène à Lucgarier (64) et la chèvrerie Hourquet à Rebenacq (64).

Andy Barréjot

photo_presse06Ambiance champêtre dans les fermes

La dépêche du midi - Publié le 29/05/2015 à 03:47

Durant deux jours, les 30 et 31 mai, les fermes du réseau D'une ferme à l'autre (ancien De ferme en ferme), organisé par les Civam, innovent (voir notre édition du 21 mai ) et s'animent, notamment la ferme Lalaque à Sauveterre.

Un programme festif et attrayant tout comme celui présenté au Bistrot de pays et sur la place centrale de Lascazères.

Frank Lalaque, son épouse et ses parents offrent donc durant les deux jours un programme convivial dans un espace sympathique, très fleuri et odorant grâce à Patricia. Un cadre qui invite à un moment de farniente dans une ambiance champêtre.

Au programme

Le samedi, visite de la ferme, de l'élevage, du laboratoire, du séchoir , dégustation. Une innovation avec le circuit «marche» pour découvrir le village et son patrimoine et notamment ses fontaines, samedi 30 mai, dès 9h30, circuit de 7km ou 12km.

Le repas à 12€ (sous chapiteau) propose au menu : assiette de charcuterie, grillades et ratatouille, dessert maison, salade de fruits, vin et café compris (réservation conseillée au 06.15.23.11.14), samedi suite à Lascazeres dès 20h.

Le dimanche : à 10 heures, visite de l'exploitation ; à 12 heures, repas champêtre ; de 14 heures à 18 heures, visites

De quoi passer une belle journée en famille !

Janine Noguez



photo_presse05Produits fermiers «maison»

La dépêche du midi - Publié le 18/03/2015 à 08:10

La ferme Lalaque était bien présente sur le Salon de l'agriculture de Tarbes, formidable vitrine du monde agricole, des produits du terroir et productions du «pays».

Nombreux étaient les produits terroir sur les divers stands et Franck Lalaque a su présenter les produits fermiers de qualité avec des porcs élevés en liberté à la ferme, nourris avec des céréales produites à la ferme. Après le Salon, un petit tour à la ferme est recommandé.

La Dépêche du Midi



Quand ce sont les Jeunes Agriculteurs qui régalent

La dépêche du midi - Publié le 03/03/2015 à 03:53

photo_presse04Montrer une agriculture jeune et vivante tout en régalant les papilles. Ce pari, les JA entendent, une nouvelle fois, le relever en conviant les plus exigeants à venir savourer les produits du terroir au Salon agricole. Événement festif et gourmand qui se déroule du 5 au 8 mars, dans le hall n° 2 du Parc des expositions.

Mettre en avant les circuits courts, telle est leur ambition. «Pas de logique entrepreneuriale», souligne sylvain, le président départemental des Jeunes Agriculteurs, mais une volonté de valoriser les produits et de proposer des menus attractifs.

Un slogan, donc : «De la ferme à l'assiette». Avec des produits frais, de qualité et, bien entendu, une traçabilité totale.

De son côté, Antony explique, par exemple, qu'il a fallu, pour honorer l'événement, trouver 48 agneaux dans les exploitations de divers cantons. Et de citer Luz, Castelnau-Magnoac, La Barthe, Lourdes et Argelès. Ces ovins ont été abattus à Bagnères.

Adrien Rumeau, d'Avezac, a fourni, quant à lui, agneaux. Il rappelle qu'avant l'agnelage, ses brebis ont été élevées à Aulon. Le foie gras tiendra lui aussi la vedette. Gilles Saint-Martin, d'Arcizac-Adour, peut garantir que ses canards sont élevés en liberté, tout comme David Fargues (ferme du Padouen à Mun) qui vend ses produits à la ferme et sur les marchés. Pour sa part, Franck Lalaque, de Sauveterre, a fait du jambon et du saucisson ses spécialités. Vous le rencontrerez, lui aussi, dans le hall des producteurs. Quatre formules au choix durant ce temps festif : des menus à 18 € et 22 €, un autre à emporter (12 €) et le «Petit JA» à 10 €. Les nouveautés dans l'accompagnement sont les frites maison et la glace artisanale à l'heure du dessert. Outre le veau ou l'agneau (selon), on pourra déguster le gâteau à la broche de Fabienne Laplace et la salade (très spéciale) de Sylvain. Les 250 JA du 65 vous attendent. Ils ont envie de vous faire partager, lors de ce rendez-vous incontournable, la passion de leur métier. L'an dernier, ils ont servi 5.500 repas. C'est la meilleure des publicités.

Josiane Battoue


Sauveterre. Partie de campagne à la ferme Lalaque

La dépêche du midi - Publié le 18/04/2014 à 03:48

photo_presse03L'opération «De ferme en ferme», organisée par les Civam Val d'Adour et Béarn, a été lancée par le président Charlie Montardon «Aou Bernès» pour le Val d'Adour. La 13e édition se déroule samedi 26 et dimanche 27 avril.

Un circuit de produits paysans

C'est une démarche collective tournée vers la qualité, la vérité sur les produits et les prestations, dans le désir de communiquer et de transmettre une certaine conception de l'agriculture à des visiteurs souvent extérieurs au monde rural. C'est aussi l'occasion de rencontrer des gens passionnés par leur métier et qui veulent faire partager leur expérience. Les circuits «De ferme en ferme» reflètent le travail collectif mené par les agriculteurs sur leurs territoires, et ce dans un souci de développement local durable et pour le maintien de campagnes vivantes. Ces journées s'adressent à tous pour retrouver les gestes et les savoir-faire d'antan, mais aussi aux enfants pour voir de près la vie à la ferme. Un épouvantail sera présent devant chaque ferme ainsi qu'une pancarte signalant l'entrée. Dans le Val d'Adour-Madiran, elles seront douze à vous accueillir, il en est de même dans le Béarn.

Pour se restaurer dans le Val d'Adour : la ferme Trencalli à Castelnau (05.62.31.96.07), à la Palombe gourmande à Lascazères (05.62.36.15.82), ferme Lalaque à Sauveterre, la ferme Au Grit (05.62.09.44.93), au domaine de Jean-Bon (05.62.09.63.93). Possibilités aussi de pique-nique. Se loger à la ferme «Aou Bernès», à Labatut (06.19.13.46.34).

Avec les fleurs, les productions animales, le madiran, le fromage, le miel, les croustades, cacahuètes, haricots… les cultures innovantes qui marquent cette édition sont les légumes bio : Les Légumes du moulin, à Monfaucon, chez Jacqueline Tenet et Jean-Pascal Fazillault, celle de la spiruline chez Fabienne Vrech, une algue verte hors du commun ; le safran de Stéphane à Jû-Belloc, et pour une première participation, la ferme Lalaque à Sauveterre. Deux jours à la campagne à ne pas manquer !

Les participants : ferme Au Grit à Projan (06.81.69.21.48) ; domaine Jean-Bon à Toujouse (05.62.09.63.93) ; ferme Trencalli à Castelnau-Rivière-Basse (05.62.31.96.67) ; clos Fradet à Madiran (06.47.83.12.87) ; Délices du Piarrot à Hères (06.79.26.89.79) ; domaine Pichard à Soublecause (05.62.96.35.73) ; ferme des 4 Graes à Beaumarchés (06.04.65.23.97) ; Bulle de safran à Jû-Belloc (06.80.18.19.57) ; Philippe Lacave à Larreule (06.89.79.63.04) ; ferme Lalaque à Sauveterre (06.15.23.11.14) ; Légumes du Moulin à Monfaucon (06.30.18.07.56) ; Spiruline à Gayan (06.35.95.16.85).

Janine Noguez



Sauveterre. Partie de campagne à la ferme Lalaque

La Nouvelle République des Pyrénées  -  Publié le 22/06/2012 à 03:49

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Franck Lalaque, son épouse et ses parents avaient convié les amis et les habitants du village pour fêter ensemble l'inauguration des nouveaux locaux de la ferme à Sauveterre. Ils étaient tous là pour soutenir cette initiative en milieu rural. Les personnalités présentes, Jean Guilhas, Marie Baudoin, Roland Dubertrand et Christian Berdy l'ont toutes félicité de son dynamisme.

Dans la famille Lalaque, 4 générations se sont succédé sur la ferme et les « anciens » ont tous étaient présents dans les discours. De l'élevage de porcs engraissés aux céréales cultivées à la ferme jusqu'à la préparation de la viande et des conserves, une chaîne terroir vraie.

Pour Jean Guilhas, « ici, on cultive l'authentique, et l'aide du conseil général comme des fonds européens est justifiée pour, de plus, aider un jeune ». Roland Dubertrand représentait Michel Pélieu, président du conseil général, lequel félicitera aussi Franck pour ses produits de qualité et ses recettes à l'ancienne. Quant à Christian Berdy, il se demandait si une appellation ne serait pas possible : « le porc de Sauveterre » ; pourquoi pas ? Marie Baudoin soulignait la volonté et la solidarité avec tous les habitants du village.

La visite des locaux guidée par Franck terminait la présentation avant la sortie « à l'américaine » par la boutique, comme souligné. Janine Noguez


Sauveterre. La ferme Lalaque du rêve à la réalité

La Nouvelle République des Pyrénées - Publié le 02/03/2012 à 03:48

photo_presse01Une ferme à l'esprit familial, tenue par Gérard et Patricia, au quartier Landes, mais qui se transforme et se développe. Franck, 30 ans, bien conscient d'avoir la chance d'être sur ce GAEC familial et s'y installe en 2003, va se battre plus d'un an avec dossier administratif, autorisations, volonté et dynamisme pour parvenir à mener à bien son projet. Bien aidés par les financeurs qu'il remercie, notamment le conseil général et le conseil régional, son rêve prend forme.

Au départ

La ferme fait de l'élevage de porcs avec une centaine de mères. Chez les Lalaque, on est naisseur-engraisseur de porcs roses mais pas n'importe comment !

Certains porcs sont vendus à la coopérative, vers 120 kg, mais les autres sont conservés, les porcs lourds entre 180 et 200 kg. « La viande est plus faite, ils sont bien meilleurs et pour les pâtés et saucissons, c'est parfait. La transformation est essentielle et il faut du produit de qualité », explique Franck.

De naisseur-engraisseur, la vocation de la famille devient alors céréalière, maïs, blé sans OGM, précisent le père, la mère et le fils. Ils exploitent 125 ha de céréales. Le circuit de production couvre deux communes. « Nous faisons naître les porcs à Sauveterre, puis on les engraisse à Maubourguet. Nous avons un silo à maïs pour conserver le grain. À Sauveterre, nous fabriquons les aliments en totale autonomie pour l'approvisionnement. »

Un maillon manquant

Pour Frank, un maillon manquait, le dernier, c'est le laboratoire. C'est donc dans les vieilles étables à porcs et vaches qu'il le construit. Il comporte 4 chambres froides, un séchoir à jambons et saucissons, une conserverie, un labo de découpe, un local de stockage, un point de vente. Pour la méthode, la famille reste à la tradition, aux recettes de famille. « Je crée une nouvelle dynamique, dit Franck, mais le savoir-faire, je le tiens de mes parents. » L'organisation pointue et rigoureuse des Lalaque a permis l'embauche d'un salarié qui bénéficie même d'un local à lui.

Produits fermiers, charcuterie fermière, du vrai et de l'authentique, de quoi réveiller déjà les papilles ! L'ouverture est prévue au printemps. Janine Noguez